Preview de la page 2 :

… Ce qui me permet d’introduire le deuxième personnage !
Il s’agit d’un vieux (et vicieux) prêteur, à qui le fermier (présenté précédemment) doit de l’argent. Recherches de charadesign avec quelques expressions : 
Deuxième étape de charadesign – la tenue vestimentaire (et quelques accessoires) :

Tel que je le vois, il veut « faire riche » mais ne l’est pas forcément ; donc plutôt qu’un costume de dandy, j’ai opté pour un pourpoint sobre, une chemise peu bouffante – et une cane ciselée, avec une bourse. Comme pour le père – fermier, je n’ai pas tenu à ancrer le costume du vieux prêteur dans une époque précise.






Deux Disney en deux mois, on est gâté ! Surtout pour un conte qui renoue avec la féerie pastelle de notre enfance…Dépaysement avec la Nouvelle Orléans, jazz entraînant et syllogisme étonnant en fin de partie ! Un bourreau de travail en princesse de cœur et une humanité toujours aussi présente dans les animaux personnifiés, aux mouvements fluides comme on les aime.

J’ai longuement hésité à pondre un cht’i article sur ce film d’animation sorti mi Novembre déjà. Musique d’une douceur chlorophylle pour les petites bouilles adorables que son les Minimoys ! Ok, la cible, c’est sûrement nos chères têtes blondes, mais pourquoi se priver d’une fraîcheur irisée de mignonneries comme celle-là ? Si le premier volet s’annonçait frais comme une goutte de rosée, le suivant n’offre point le rayon de soleil promis ! Gros reproche : un scénario qui s’endort mollement lors des épisodes «dans la vie réelle », où les parents se retrouvent bêtifiés par surjeu et textes déplorables, et qui, au final, n’apportent rien, sinon de meubler les séquences « animées ». Dommage également que cet opus 2 ne puisse survivre sans son numéro 3… Avait-on besoin de stéréotyper les personnages dans leur ensemble ?